PORT-AU-PRINCE – Jocelerme Privert, si l’Assemblée nationale décide de ne pas prolonger mon mandat le 14 juin, je quittera sans regret ni état d’âme le palais national. « Si elle veut que je reste, je resterai toujours pour accomplir le mandat qui m’a été imparti pour organiser les élections qui malheureusement n’ont pas pu être organisées dans le délai prévu. »
Même si des dates importantes de l’Accord n’ont pas pu être respectées, il ne l’a toutefois pas enterré. « L’accord est encore valable, lâche-t-il. On continuera à l’appliquer jusqu’à l’installation d’un nouveau président élu et de toutes autres autorités à la recherche d’un mandat populaire. »